CMDC , présentation

Un centre d’accueil…


… une équipe et des installations au service des étudiants

 

Sur le plan pratique, les étudiants bénéficient d’un environnement réunissant les meilleures conditions : leur logement se trouve à proximité de l’école, une cafétéria y est ouverte tous les jours, des studios sont mis à disposition pour leurs travaux personnels, enfin, les étudiants sont  attentivement suivis sur le plan  médical.

Au terme de 8 mois de fonctionnement, nos attentes sont plus que confortées, l’expérience est très largement positive et nous sommes à l’heure d’un premier bilan.

Forte de sa diversité culturelle et d’un potentiel artistique indéniable, la 1ère promotion a développé plus qu’un esprit de groupe, la conscience solidaire d’un avenir commun en marche.
Au bout de ces quelques mois, les progrès techniques et artistiques des étudiants danseurs sont tout à fait remarquables. Ils sont le fruit d’un travail intensif encadrés par les professeurs et les chorégraphes locaux et invités qui mettent toute leur énergie et leur savoir faire au service de l’entreprise.
D’ores et déjà, le groupe a été confronté à de nombreux évènements sur la scène nationale et ses prestations ont été saluées par le public, notamment lors d’une tournée à travers plus de 20 festivals du pays.
Si nous nous réjouissons des « premiers pas » accomplis jusque là, c’est qu’ils confirment la pertinence du CMDC et renforcent notre ambition d’une formation d’excellence.

 

 Premier centre de formation professionnelle en danse à l’échelle de la région….
                                                                                            …la diversité culturelle au rendez-vous.

 

Les étudiants ont la chance d’évoluer dans un espace où toutes les formes de création se rencontrent et s’enrichissent mutuellement.

Les élèves du CMDC ont fait l’objet d’un portrait – interview réalisé par les élèves de l’Ecole des Arts et du Cinéma (EDAC). Leur immersion au sein du festival « Doc à Tunis » leur a également permis de découvrir les oeuvres de réalisateurs engagés, d’appréhender, à travers les films documentaires programmés, d’autres façons de voir et de comprendre le monde.

Enfin, ils ne pouvaient passer à côté des Rencontres Chorégraphiques de Carthage. En accompagnant les compagnies invitées, ils ont pu vivre un moment privilégié avec les chorégraphes et les danseurs professionnels.
Ils ont également assisté à toutes les représentations, au colloque et à la table ronde consacrée à la formation à la danse dans les pays du sud, sujet qui les concerne, ô combien !